Charles Vielvoye nous dévoile la méthode de l'analyse de matérialité, et donne les résultats pour United.b
Le terme matérialité est l’adaptation de l’anglais materiality désignant « pertinence ». Il correspond au principe de priorisation des enjeux : sont-ils suffisamment importants pour qu’il faille les couvrir ? L’analyse de matérialité est un outil de construction d’une stratégie RSE se matérialisant de trois façons :
En collaboration avec un cabinet de conseil et l’aval d’un COPIL constitué de membres RSE de la holding et des enseignes du groupe, l’analyse de matérialité s’est faite en 4 étapes ci-contre.
L’analyse de matérialité est un pas significatif, en anticipation de la future réglementation européenne de la double matérialité, obligeant les entreprises à croiser la matérialité financière (les impacts de l’environnement sur l’entreprise) avec la matérialité ESG (les impacts de l’entreprise sur son environnement).
Les étapes 2 et 3 étant en cours de consolidation, cet article ne présente que la méthodologie et les résultats de l’étape 1.
Bien que les initiatives locales comme la plantation d’arbres et les ruches soient louables et symboliques, elles ne suffisent pas à couvrir l’impact réel des entreprises sur la biodiversité.
Le 23 octobre, le Circular Challenge organisé chez ADEO a mis en lumière les initiatives pionnières en faveur de l'économie circulaire. Cette compétition interne récompense ainsi les initiatives qui réinventent le cycle de vie des produits et réduisent l’impact environnemental du Groupe.